Journéenationale d’hommage Cérémonie - Journée nationale d’hommage aux victimes du terrorisme Roubaix - 11-03-2022 17h00 - 17h30 (Divers) Le 11 mars, cette journée rend hommage aux victimes de tous les attentats ayant touché la France depuis les années 1970.
Le Président Emmanuel Macron a présidé la seconde édition de la Journée nationale d’hommage aux victimes du terrorisme. Revoir la cérémonie depuis les Invalides. Comme il l'avait affirmé l'an dernier, le devoir de la France est de rappeler que les femmes et les hommes qui ont été visés par des attaques terroristes demeurent au cœur de notre fraternité nationale et de notre souvenir, d’honorer leur mémoire et de faire vivre leurs histoires et leurs engagements. Cette année, le Président de la République a souhaité laisser la parole à ceux qui ont été victimes ou qui combattent le terrorisme. Voici leur histoire Le 13 novembre 2015, je suis sorti rampant et seul du Bataclan. Le 8 septembre 2021, lorsque s’ouvrira le procès des terroristes qui ont commis cet attentat, je ne serai plus seul et je n’aurai plus peur. En presque 6 ans, l’association Life for Paris que je préside aura permis de rassembler plusieurs centaines de victimes des attentats du 13 novembre à Paris et Saint-Denis et leurs proches. Participer à cette aventure associative m’a aidé à restaurer ma foi en l’humanité et a renforcé ma conviction que c’est collectivement que la résilience est la plus forte. Égoïstement, essayer de se sentir utile en dirigeant une association aura aussi été une manière efficace de lutter contre ma culpabilité de survivant. Au fond, que l’on entre dans une association de victimes pour s’aider soi-même ou pour aider les autres, on finit inévitablement par faire les deux. Le partage, entre adhérents, de nos difficultés à renouer le fil de nos vies nous a permis de tisser des liens presque familiaux. Et face au poison terroriste qui cherche à nous diviser et à fomenter une guerre de tous contre tous, je n’ai pas vu de meilleure réponse que celle qui consiste à se regrouper pour tenter d’avancer. Nous le montrerons aux Assises. Notre vie d’après, à nous victimes, passe par un difficile équilibre entre devoir de mémoire et besoin d’oubli. Car survivre à un attentat, c’est aussi témoigner perpétuellement de l’horreur inutile et cruelle du terrorisme. Que la République instaure une Journée Nationale d’Hommage aux Victimes du Terrorisme et crée bientôt un musée allège notre fardeau mémoriel. Ces deux projets sont aussi l’une des raisons pour lesquelles Life for Paris pourra se dissoudre un jour, car la société aura intégré et repris à son compte une grande part de notre message de paix. Pouvoir écrire ces mots est une chance à plus d’un titre. Je peux le faire parce que j’ai survécu, parce que des victimes ont choisi de se rassembler, et parce que la France a décidé de ne pas oublier. J’essaie de mon côté d’être aussi fidèle que possible à cette maxime que nous avons tirée de notre expérience avec Antoine Garapon La survie est la discipline du bonheur ». Arthur Dénouveaux Les victimes d’attentats peuvent être frappées plusieurs fois. Une première fois lorsqu’elles font face à une violence inouïe, qu’elles sont déshumanisées par le terroriste. Une deuxième fois, pour les victimes qui en réchappent, lorsqu’elles doivent continuer à vivre avec des blessures, parfois profondes et indélébiles, dans leur chair comme dans leur esprit. Une troisième fois, pour celles qui sont blessées au visage, car il y a dans la défiguration une peine supplémentaire celle de l'empêchement social. Lorsqu’on ne se ressemble plus, qu’on ne peut plus parler, qu’on ne peut plus manger, ni même respirer normalement, on perd une partie de sa vie sociale. En tant que chirurgiens, au service de chirurgie maxillo-faciale de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, nous tâchons du mieux que nous le pouvons de ramener ces patients vers la vie sociale. Tenter de réparer une bouche, une mâchoire, un regard, permettre à ceux qui ne le pouvaient plus de parler de nouveau, de se nourrir et de respirer le plus normalement possible, rétablir un visage montrable », accepté par la société notre travail est d’aider les victimes à se replacer parmi les humains. C’est cela le sens de notre engagement faire notre maximum pour rendre aux victimes l’humanité que le terroriste a tenté de leur prendre. Chloé Bertolus Le soir du 11 décembre 2018, à Strasbourg, un homme est entré de force dans mon taxi. C’était un terroriste il venait de commettre le pire. Pris en otage, j’ai réussi à rester vivant, à faire face, et même aidé à faire cesser son terrible périple meurtrier. Des femmes, des hommes, des enfants venaient d’être touchés dans leur chair. Notre pays venait d’être frappé au cœur. Je resterai à jamais marqué par ce jour d’horreur. On se pense plus fort que cela, mais la réalité vous rattrape et le traumatisme est bien là , réel. Quelque chose vous ronge de l’intérieur. Heureusement, on vous tend la main. Le travail des professionnels et des associations est essentiel, je dirais même vital. Je suis papa. C’est ce qui m’a permis de tenir, de rester debout. Ce n’est pas facile car lorsqu’on est touché par le terrorisme, c'est toute la famille qui subit. Les problèmes font des dégâts en ricochet. On a besoin d’être aidé et accompagné. Alors je me suis moi-même engagé j’ai créé mon association pour venir en aide aux victimes comme moi, pour faciliter les échanges et la circulation d’informations. Ça a été une décision importante pour moi, qui m’a aidé, qui m’aide toujours, à me reconstruire, aux côtés d’autres victimes, à l’écoute de celles et ceux qui souffrent aussi, en dialogue avec elles. Avec ceux qui m’entourent, nous allons aussi sur le terrain que les terroristes voient comme un terrain de chasse, là où ils tentent de détourner notre jeunesse de son avenir. Nous y allons, nous y témoignons avec détermination, pour éviter que les jeunes ne tombent dans le piège de cette idéologie funeste. Nous y rappelons combien être Français est une chance ! Les terroristes veulent la division, la haine et la peur, et comptent l’instaurer par la violence et le sang. Nous leur opposons le vivre-ensemble et toutes les valeurs de notre République. Mon engagement est une manière de répondre à ceux qui veulent détruire cette cohésion qui fait de nous une Nation vous nous avez touchés, mais nous sommes debout et nous serons toujours du côté de la République, unis, tolérants, dans la paix. Mostafa Sahlane Le 13 novembre 2015 devait être la fin d’une semaine éprouvante. Nous venions d’être mobilisés sur un kidnapping. Mais le soir, mes camarades de la BRI et moi sommes appelés au Bataclan. C’est un charnier. Et il y a des blessés. Ils nous regardent et clignent les yeux pour se signaler à nous. On se comprend sans se parler. Les tirs viennent nous rappeler que le danger est tout proche. Alors que des collègues progressent à l’étage, où les terroristes sont réfugiés, nous tirons les corps de blessés pour les sortir du chaos. On nous appelle ensuite pour prendre le relais de nos camarades à l’étage. Je me retrouve derrière le bouclier Ramsès qui sert à protéger la colonne. A quelques mètres, dans ce couloir sombre, une porte. Derrière elle, ceux qui viennent de tirer sur des centaines d’innocents. Alors que tout est sombre, une lueur, un espoir des otages sont encore en vie. Leur présence accroit notre courage. Il nous faut les sauver. Nous sommes entraînés à combattre, mais rien ne prépare à cela. Nous connaissons les plans, mais la position des otages et des terroristes est aléatoire. Une chose est sûre nous sommes déterminés. On doit agir. L’assaut est donné, je pousse la porte. Un déluge de feu blesse grièvement un collègue, extrait par la colonne d’assaut. Pendant la progression, je tire et blesse le premier terroriste. Un collègue me rejoint, passe devant moi. Le terroriste se fait exploser à cet instant. Nous allons vers l’autre assaillant. Mon collègue le neutralise. Les otages sont en vie. Ils donnent sens à notre action. Je pense aux victimes qui ne sont plus là , à celles qui sont blessées, qui seront toujours en reconstruction. Ce sont elles qui m’ont donné la force de tenir. C’est l’élan de solidarité de tous ceux qui sont intervenus, des médecins, pompiers, gardiens d’immeuble, voisins… C’est aussi le soutien de nos proches, pour qui cette épreuve a parfois été plus dure à vivre que pour nous-mêmes. Car nous étions là pour faire notre travail, du mieux possible. Je veux dire à tous ceux qui nous ont envoyé des mots et des dessins à la brigade, de toute la France, un immense merci. Quelques années après, j’y pense encore. A. Le 14 juillet 2016, ma fille Camille Murris était assassinée sur la Promenade des Anglais à Nice. En l’espace de quelques heures ma vie a été anéantie. Comment allais-je pouvoir survivre sans mon enfant, moi qui avais tant souffert, corps et âme, pour pouvoir être mère ? Mon errance, mon désarroi, ma souffrance ne m’ont pas aveuglée. L’amour pour ma fille m’a apporté une force et une lucidité extrêmement concrètes personne ne devrait supporter une telle douleur. Ainsi, je me suis sentie porteuse d’une responsabilité. Dès 2016, j’ai décidé de m’investir. Je voulais faire tout mon possible pour éviter de pareils drames. Pour ceux qui sont partis, pour ceux qui restent, et même pour ceux qui sont responsables. Car quelle mère n’aurait pas souhaité qu’on empêche son enfant de sombrer dans le terrorisme ? Très vite une conviction m’a habitée lutter pour la mémoire. Oublier revenait à trahir, me trahir et, pire que tout pour moi, trahir l'honneur de mon enfant. La mémoire est douloureuse mais l’oubli est insupportable. J’en ai fait mon combat. Mon objectif n'est pas juste que l’on se souvienne, mais de faire exister dans le présent les traces de ces abominations, et mettre la mémoire des victimes au service d’un modèle de société. Envoyer des messages d’espérance, un hymne à la vie pour EUX, pour NOUS, est devenu mon credo. Pour les victimes du 14 juillet 2016, j’ai fait rayonner 86 faisceaux dans le ciel et contribué à l'édification d'un lieu de mémoire à Nice. J'ai aussi imaginé une aventure pour porter haut leur mémoire 86 galets déposés dans la chaîne de l’Himalaya, chacun au nom d'une des victimes. Pour toutes les victimes du terrorisme en France, je porte depuis 2016 le projet du Mémorial Musée, à Nice. Pour l’accueillir, reconstruire le Casino de la Jetée Promenade démantelé par les nazis permettrait de conjuguer notre résistance et notre résilience. C’est le sens de Mémorial des Anges, mon association. Cet engagement est ma manière de participer au bien commun, de transcender ma souffrance et de vivre. Anne Murris Enfant, mon rêve était de devenir pompier de Paris. Mes parents, eux, voulaient absolument que je fasse de longues études. Je me suis donc dis je serai médecin… chez les pompiers de Paris ! Une quinzaine d’années plus tard, un soir de garde, je suis appelée au Stade de France pour une intervention. C’était le 13 novembre 2015. Nous sommes les premiers sur les lieux. C’est le choc. Mais nous n’imaginons pas ce qui nous attend. Peu après, notre équipe est appelée à nouveau, cette fois en renfort. Direction le Bataclan. Toute la nuit, j’ai porté secours à une dizaine de victimes dans des conditions inimaginables. On s’entraîne toute notre vie à faire de la médecine de guerre mais on ne s’attend pas à la pratiquer sur le territoire national. À ce moment-là , on se rend compte que notre formation est essentielle pour sauver des vies, mais on ne peut jamais être préparé à affronter tant de violence. En 2018, je décide de poursuivre mon engagement autrement. Je suis sélectionnée pour intégrer les unités des forces spéciales. Depuis plusieurs mois, aux côtés d’infirmiers, je suis déployée en opération extérieure au Sahel, au sein de la Task force européenne Takuba. Nous combattons les groupes armés terroristes qui n’ont qu’un seul but la destruction. La médecine de guerre, on n’en fait pas souvent mais le jour où il y en a besoin, on n’a pas le droit à l’erreur. Je suis engagée pour sauver des vies, pour être aux côtés de mes camarades qui prennent tous les risques pour protéger les Français. Commandant Alix Le soir du 23 décembre 1983, alors que nous dînions avec mon mari dans un restaurant parisien, nous avons été victimes d’un attentat. J’ai été grièvement blessée. À cette période, il n’existait ni dispositif ni structure pour aider les victimes comme moi. Il n’y avait aucune reconnaissance de notre statut. On ne peut imaginer toutes les difficultés que rencontrent les victimes. Je les ai vécues. Alors en tant que juriste, j’ai décidé de faire tout mon possible pour changer les choses. En 1986, j’ai créé l'association SOS Attentats. Engagée et déterminée, j’ai participé à la rédaction de plusieurs lois qui ont permis de créer un fonds d’indemnisation en 1986. C’est aujourd’hui le Fonds de Garantie des Victimes des actes de Terrorisme et d'autres Infractions FGTI. Je me suis battue pour accorder aux victimes d’attentat le statut de victime civile de guerre. Le 23 janvier 1990, la loi a reconnu le terrorisme comme une nouvelle forme de guerre, en temps de paix. J’ai accompagné plusieurs autres lois, dont une pour assurer la présence des victimes dans les procédures judiciaires. C’était indispensable pour lutter contre le terrorisme. Il y a la reconstruction, le travail difficile de retour à une vie normale, et il y a la mémoire. Alors qu’il n’en existait aucun dans le monde, j’ai œuvré pour qu’un mémorial soit érigé pour toutes les victimes du terrorisme. En 1998, le Président Chirac l’a inauguré aux Invalides, un lieu porteur de sens. C’est aux Invalides que nous honorons les victimes du terrorisme, que nous soignons les blessés dans la durée, et que nous accompagnons la reconnaissance, avec l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre, l’ONACVG. Ce mémorial est une statue Parole portée à la mémoire des victimes du terrorisme ». Elle représente une femme anonyme décapitée. Mais, alors qu’elle tient sa tête entre ses mains, ses paroles continuent de sortir de sa bouche. Cette parole que les victimes continuent à transmettre aux vivants, par-delà leur mort. Cette parole est un appel à la paix, à la justice, à l’espoir et à la résilience. Françoise Rudetzki Le 13 novembre 2015, sous-officier, je participais à l’opération Sentinelle à Paris avec un escadron de mon régiment. Nous étions dans le 11ème arrondissement lorsque nous avons appris que des tirs étaient survenus quelques rues plus loin. Nous avons été déployés rapidement au bar La Belle Equipe, où nous sommes arrivés au même moment que les pompiers. Nous avons tragiquement constaté les décès d’innocents, avons porté assistance aux personnes blessées et sécurisé la rue. Nous sommes restés engagés toute la nuit. Je n’oublierai jamais les regards que j’ai croisés ce soir-là . Un mois plus tard, je passais le concours de l’Ecole militaire interarmes et débutais ma carrière d’officier. Je suis fièrement rentré au 1er Régiment de chasseurs comme chef de peloton de chars Leclerc, à la tête d’une trentaine d’hommes. Mon rôle est d’assurer l’instruction générale, technique et tactique des soldats et leur entraînement. C’est avec ce groupe d’hommes que je suis venu au Mali. J’y suis engagé depuis novembre 2020. Nous assurons des missions de contrôle de zones visant à neutraliser les groupes armés terroristes dans leurs zones refuge. Le peloton sert également d’escorte à des convois logistiques vitaux pour le ravitaillement de la force. Ces mois loin de chez nous renforcent notre cohésion et nous permettent d’affronter les évènements ensemble. C’est ce qui nous a permis de ne pas abandonner lorsque le peloton a été victime d’une attaque à l’engin explosif le 28 décembre dernier, causant le décès de trois de nos camarades, collègues et amis. Tirant notre force du collectif, nous avons tenu bon malgré les circonstances, et rempli notre mission jusqu’au bout. En tant que chef, il m’a fallu montrer l’exemple et guider les plus jeunes. La cohésion du groupe a été cruciale. Je pense qu’il y a plusieurs héros. Nos trois camarades qui ont accompli leur mission jusqu’au sacrifice ultime, et ceux qui restent et continuent de se battre comme les soldats de mon équipe qui sont allés au bout de leur engagement, malgré leur jeune âge. Lieutenant Joffrey
AccueilBrigitte Macron Photos Brigitte Macron Brigitte Macron à la cérémonie d'hommage aux victimes du terrorisme, devant la statue La Parole portée aux Invalides, Paris. Le 11 mars 2021
La date du 11 mars, choisie par l’Union européenne comme date de Commémoration commune, fait référence à l’attentat commis à la gare d’Atocha Madrid le 11 mars 2004 et a été instaurée en France par décret du Président de la République en date du 7 novembre 2019. C’est donc la 3ème année que cette Cérémonie se déroule dans tous les chefs lieux des départements français. La France a eu sa part de victimes du terrorisme et cette Journée nationale d’hommage marque symboliquement la reconnaissance par la Nation de ces victimes et met en lumière les parcours de résilience après les tragédies que notre pays a connues. Ce 11 mars rassemble toute la Nation, tous les Français dans un recueillement collectif où nous nous souvenons et où nous affirmons haut et clair notre unité et notre détermination à combattre les fureurs de tous les obscurantismes et de tous les fanatismes. Pour les Hautes-Pyrénées cette Commémoration s’est déroulée à Tarbes le vendredi 11 mars à 10h, aux Morts de Tarbes Allées du Général Leclerc, sous l’autorité du lieutenant colonel Thierry RHOLE Délégué militaire départemental adjoint des Hautes-Pyrénées et présidée par le préfet Rodrigue Furcy, en présence de la Sénatrice Vivianre ARTIGALAS, du Maire Gérard TREMEGE et d’élus Tarbais, du Directeur de l’ONAC Bruno MONTAGNOL, des autorités militaires et de police, des portes-drapeaux et associations patriotiques. Des textes ont été lus par des élèves des collèges Desaix et Paul Valéry, lecture suivie d’un dépôt de gerbes par le Préfet et le Maire, de la Sonnerie aux morts, de la Minute de silence, de la Marseillaise chantée par la chorale A Cœur Joie » et de l’hymne des victimes du terrorisme. Read more articles
Devantle médaillon de Jean-Moulin, à Rodez, se tenait, ce vendredi 11 mars, une cérémonie d'hommage aux victimes du terrorisme. Une cérémonie au cours de laquelle les élèves du collège
NOR PRMX1927336DELI n°0261 du 9 novembre 2019Texte n° 3ChronoLégiVersion à la date format JJ/MM/AAAAou duVersion initiale Le Président de la République,Sur le rapport du Premier ministre,Vu l'article 37 de la Constitution,Décrète Il est institué une journée nationale d'hommage aux victimes du journée est fixée au 11 année, à cette date, une cérémonie nationale est cérémonie analogue peut être organisée dans chaque département à l'initiative du Premier ministre est chargé de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République le 7 novembre MacronPar le Président de la République Le Premier ministre,Edouard PhilippeExtrait du Journal officiel électronique authentifié PDF - 176,6 KoRetourner en haut de la page
LaMONUSCO commémore la journée d’hommage aux victimes du terrorisme. Photo MONUSCO/John BOMPENGO La Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies en RDC, Leila Zerrougui, a présidé mercredi 21 août 2019, à Knshasa, la cérémonie de la Journée internationale du souvenir en hommage aux victimes du terrorisme, célébrée le 21 août
Imprimer Facebook Twitter Le 19 septembre 2018, le Président de la République Emmanuel Macron s’était engagé à ce que soit organisée une journée nationale en hommage aux victimes du terrorisme tous les le 11 mars. Cette date fait référence à l’attentat commis à la gare d’Atocha à Madrid en 2004. En conséquence, ce mercredi 11 mars s’est tenue à la Résidence de France la première cérémonie en hommage aux victimes du terrorisme. Les victimes du terrorisme sont au cœur de notre fraternité nationale et de notre mémoire. Cette journée d’hommage est profondément européenne et internationale. Unis dans l’épreuve, unis dans la mémoire » a déclaré Frédéric Clavier, Ambassadeur de France en Tanzanie devant un parterre composé du Vice-ministre des Affaires Etrangères, des Ambassadeurs européens, du doyen du corps diplomatique mais aussi devant les nombreux collégiens et lycéens de l’Ecole Française de Dar es Salam. Cette cérémonie s’est déroulée dans un esprit de concorde et de solidarité. Le vice-ministre des Affaires Etrangères, Hon. Damas Ndumbaro a tenu à apporter tout son respect et sa considération pour les victimes du terrorisme, en Europe ou partout ailleurs dans le monde où le terrorisme fait rage ». Les collégiens et les lycéens ont lu des d’extraits de l’ouvrage Vous n’aurez pas ma haine » de A. Leiris et des citations sélectionnées sur la paix et la tolérance. La chorale de l’Ecole a également chanté l’hymne national français. Enfin, pour achever cette cérémonie, l’Ambassadeur Frédéric Clavier et le vice-ministre des Affaires Etrangères Hon. Damas Ndumbaro ont procédé au dévoilement de la plaque commémorative en mémoire des victimes du terrorisme. L’Ambassade remercie très chaleureusement le vice-ministre des Affaires Etrangères tanzanien, Damas Ndumbaro ; l’Ambassadeur européen, Manfredo Fanti ; ainsi que les représentants du Corps diplomatique européen et africain qui ont répondu présents à cet évènement. Vous pouvez retrouver ci-dessous les discours de Frédéric Clavier, Ambassadeur de France en Tanzanie et du vice-ministre des Affaires Etrangères prononcés à cette occasion. Discours de l’Ambassadeur Frédéric Clavier - Cérémonie en hommage aux victimes du terorisme. PDF - ko Discours de Hon. Damas Ndumbaro - Cérémonie en hommage aux victimes du terrorisme. PDF - 209 ko Il vous est aussi possible de retrouver ci-dessous le discours prononcé au Trocadéro par le Président de la République, Emmanuel Macron. Dernière modification 13/03/2020 Haut de page 5A8qj.