PDV Taehyung Pauvre petit! À cause de nous, Yoongi est en dépression amoureuse. Ça fait mal au cœur de la voir comme ça pour la première fois en 19 ans si je compte avant qu'on se soit rencontré, ce qui veut dire, il y a 8 ans. On à décidé de visiter un peu la ville de Mexico, puisqu'on est justement à Mexico. Et comme depuis au moin une semaine, Yoongi nous boude, fâché qu'on l'ai forcer à partir de la Floride. Jungkook Hyung, met toi un foutu sourire sans ta face! Yoongi nous boudant encore J'ai pas envie de sourire. Moi Je ne sais pas vous, mais moi, j'ai faim. Jungkook Excellente idée! T'as faim, Yoongi? Yoongi toujours fâché J'ai pas envie de manger. Jungkook déçu Ne me dit pas que tu vas faire la grève de la faim? Yoongi Et pourquoi pas? C'est de votre faute, si je suis dépressif! Moi avec tout plein de sous-entendu Je suis sûr que tu as envie de manger quelque chose de mieux que de la nourriture. Genre, 100x mieux. Yoongi me donna un coup de coude dans l'épaule, comprenant que je parlais d'un certain Jung Hoseok. Il vira rapidement au rouge, ce qui me fit rire avec Jungkook. Puis, Yoongi sortit son téléphone de sa poche et composa un numéro. Jungkook perplexe Tu appelles qui, Hyung? Yoongi nous lançant des éclairs avec ses yeux Un taxi. Je rentre à l'hôtel puisque tout ce que vous êtes capable de faire, c'est rire de ma gueule. Moi déçu Mais lààà! Chaton! On faisait juste s'amuser. Ne le prends pas mal comme ça. Jungkook en croisant ses bras comme un enfant qui boude T'es pas cool, Yoon. Puis, le taxi arriva. Yoongi embarqua à l'intérieur en nous fusillant toujours du regard. Jungkook regardait le véhicule s'éloigner et moi, je n'en avais pas la force. Je me sentais mal. Mal d'avoir prévu une vengeance pour Yoongi parce qu'il avait embrassé mon petit ami alors qu'il ne la méritait pas. Mal pour sa situation avec Hoseok. Mal d'avoir rie de lui. Je me sentais mal de tout ou presque. Plus j'y pensais, plus ça me tombait dessus Je suis un imbécile égoïste. PDV Yoongi Une semaine. Une foutu semaine qu'il m'ignore. Qu'il ne me répond pas. Chaque minutes, chaque secondes de ma vie, je pense à lui. Je l'imagine enfermé dans sa chambre en train de se torturer à se remémorer tout les moments qu'il croyait heureux d'avoir passé avec Kai. Et juste y penser, ça me fait mal de savoir qu'il souffre autant. Je n'aime pas voir des larmes sur son magnifique visage. Je n'aime pas le savoir triste. Assit sur le lit ne notre chambre d'hôtel, j'observe mon téléphone que j'avais positionné devant moi 1 heure plus tôt, attendant un nouveau coup de fil qui ne viendrait ni de Jungkook, ni de Tae, ni de Jimin, ni de Namjoon ou de Seokjin. Un téléphone de personne d'autre de celui que j'aime. Hoseok. Mon Hoseok. Malheureusement, je n'avais plus de signe de lui depuis une semaine. Une foutu semaine. J'ai envi de pleurer toute les larmes de mon corps et de massacrer Kookie et Tae. Tout d'un coup, j'eu une idée. Si Hoseok ne me donne pas de ses nouvelles, peut-être de Min Jae pourrais m'en donner. J'aurais pu envisager Sooyun, mais j'ai un doute sur le fait qu'Hoseok lui dise comment il se sent. Sans plus attendre, je compose le numéro de Min Jae. Après quelques coups, il me répondit.
Cétait très bien que P'tit Chat soit détartré hier, sa gencive n'avait pas encore de ligne rouge le long des dents, donc pas d'antibiotiques à lui donner et surtout il n'a pas mal ce matin. C'est un chat qui produit beaucoup de tartre et tout bébé il avait déjà les dents très jaunes et assez vilaines.
Vous avez eu la réponse que vous attendiez après la défaite contre Perpignan ? En deuxième mi-temps, oui. On a mis une mi-temps pour s’y mettre parce qu’on était un peu tendus, ce qui est normal. On n’arrivait pas à garder le ballon. On était assez imprécis, ce qui ne nous a pas permis de bien lancer le jeu. En deuxième mi-temps, c’était mieux. Même en première mi-temps, malgré cet essai qu’on prend à la fin, j’ai trouvé qu’on ne s’était pas égaré. Vous êtes menés après la première mi-temps, alors que vous étiez tranchants… Tranchants, je ne sais pas, dominants, oui. Moi je tranche le jambon mais après chacun fait ce qu’il veut. Mais oui, on a été dominants mais on avait de l’imprécision et on n’arrivait pas à tenir le ballon. Quand on le gardait, je trouvais qu’on était impatients. À l’image de cette mêlée ou on traverse, on tombe à cinq mètres de la ligne, et où en transforme le jeu par une longue sautée alors qu’il fallait jouer simple quoi. Mais c’est logique avec la semaine qu’on a passé… Vous vouliez voir des joueurs avec du caractère de champion. C’est le cas ? Oui. En deuxième mi-temps. Maxime Lucu a-t-il été un élément principal de ce succès ? Max a surtout été excellent dans la semaine. J’ai encore discuté avec lui tout à l’heure, je trouve qu’il a amené cette rébellion. Je trouve qu’il a été capable de fédérer autour de lui, d’amener les mecs avec lui, d’amener les leaders notamment. Il a été très bon dans la prise de responsabilité. Dans ce match, il a été excellent dans les initiatives alors que ce n’est pas forcément sa qualité première. Et je l’ai trouvé extrêmement bon sur les jeux au pied, notamment défensifs. Au-delà de la partie qu’il fait, il a fait une semaine incroyable. Vous avez laissé le contrôle de l’équipe aux joueurs cette semaine. Comment l’avez-vous vécu ? Je me suis fait chier. C’était difficile parce que j’ai pris un risque important mais il fallait que l’on se révolte, ce n’était pas possible autrement. Ce que je leur ai dit après le match, c’est qu’on ajuste fait ce qu’on aurait dû faire la semaine dernière. Depuis trois mois, il y a tellement de promesses non-tenues. Parfois tu perds les matchs parce que l’adversaire est plus fort, c’est le sport, c’est la vie. Parce qu'à Perpignan, quand tu n’es pas foutu de faire un match nul dans un match qu’on avait imaginé gagner… Ça a le don de me gonfler. Je trouve qu’on a juste rétabli une vérité. On est au même niveau que l’année dernière en demi-finale. Vous dites avoir pris un risque dans cette semaine. Celui que ça casse ? Pas que ça casse, mais il y a des choses qui ne me plaisaient pas. Il va falloir que je les règle l’année prochaine. J’ai pris cette option, j’ai froissé les joueurs et j’ai pris un risque. C’était ciblé évidemment, mais ça, c’est la vie. Ma crainte, c’était de savoir si on allait se remobiliser. Mais je crois qu’il fallait le faire. Vous n’aviez pas peur de vous mettre le vestiaire à dos ? Je me le suis mis à dos. C’est la première fois que ça m’arrive tous contre moi pour aller à la guerre. Quel discours avez-vous tenu à la mi-temps ? Très cours, très basique, comme depuis lundi. Parce que je n’ai pas envie. Je ne sais pas si ça reviendra, moi je ne triche pas. Quand je dis en début de semaine que je ne veux pas les voir, je ne veux pas les voir. Je dis les choses comme je les ressens. Mais c’est comme ça, je ne vais pas dire que c’est bien quand ça ne l’est pas. Ne pas tenir ses promesses, c’est dangereux, il ne faut pas jouer avec ça. La poignée de main avec Matthieu Jalibert en fin de match est jugée froide. Vous confirmez ? Oui, je m’y attendais. Top 14 - Matthieu Jalibert et Christophe Urios UBBIcon Sport Ça vous fait un peu plaisir aussi ? Ça montre l’ego du garçon. Bien sûr ! Mais Matthieu, c’est un champion, je le dis souvent. Mais c’est dans les deux sens. Les grands joueurs te font gagner les grands matchs. Hier, j’ai vu le Stade toulousain et j’ai vu Antoine Dupont surtout. Qu’on s’en inspire ! Quand tu veux gagner des titres, tu as besoin de tes grands joueurs. Vous avez prévu de lui parler dans la semaine, à lui et Woki ? Dans la semaine ? Non. J’ai déjà parlé la semaine dernière. Ça vous choque qu’on froisse les joueurs quand ils n’ont pas été bons ? Le geste de Cameron après son essai, je ne l’ai même pas vu, mais c’est bien, qu’il continue de marquer des essais. J’aurais préféré qu’il le fasse à Perpignan, mais il ne l’a pas fait. Les histoires après, c’est de l’enfumage. Il faut faire attention, le patron c’est moi. Personne d’autre, d’accord ? Quand je décide de ne pas parler, je ne parle pas, quand je décide de parler, je parle. Celui qui n’est pas content, il reste sur le côté. Moi je sais où je veux aller à Bordeaux et ça ne va pas, je partirai de Bordeaux. Il faut savoir ce qu’on veut, je suis très à l’aise. Votre groupe est-il si particulier ? Je n’ai jamais eu à coacher un groupe comme ça. Ce n’est pas l’heure des bilans mais j’ai les idées claires, très claires. Ce qui m’a appris le rugby, c’est que la générosité est bien plus importante que l’individualisme. Donc soyons généreux. Deux demi-finales de championnat en deux ans, cela représente quoi ? Une progression du club. Je suis venu pour ça. Mais on est juste en demi.Après bon, les caméras deviennent toutes petites. Le punk, j’ai pensé que c’était dada qui recommençait. Je fantasmais beaucoup dessus, pas seulement sur la musique, c’était comme sortir de cette poésie de merde, de ces poètes à la con qui constipent, congestionnent. Pour moi, c’était ça, c’était tabula rasa. »
17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 0730 Au début de mes pérégrinations blogo-marseillaise, je vous parlais régulièrement d'un ami à l'anus rougeoyant. Depuis, c'est ça nazerie qu'il a décidé de faire briller. Pour tout dire, j'ai une vrai vie hors de ce blog si si, je suis un vrai gens comme toi. Il m'y arrive des coups durs. Quand t'as un pote qui te claque la porte au nez en te coinçant le doigt alors que toi , tu es dans la misère. Ça rend teigneux. Depuis, je suis courroux, violence et représailles. Mais, je tenais ma petite revanche, grâce à la taille de ville. Y'a pas cinquante mille endroits pour faire la fête et tu croises très vite les gens. Je savais donc qu'un jour je le retrouverais. Et là, ça serait la calamité pour lui … Toi, pas trahir amitié, sinon moi, casser bouche ! ». Comme la panthère, j'attendais que ma proie passe dans mon champs de vision … J'avais tout imaginé ! Au milieu de ses potes Salut ! Ça va ?… me tournant vers ses convives … Vous avez trop de la chance de le connaître … Mais attention, c'est un enculé ! … S'il vous arrive une méga galère comptez pas sur lui ! … Bon allez ! T'chô ! ... » Le croisant seul à seul Je ne te salut pas car tu es méprisable … Ta notion de l'amitié me donne des furoncles testiculaires … Je maudis ta famille sur 25 générations et souhaites te voir mourir d'un cancer du cerveau dans – de préférence – d'atroces souffrances … Et je ne te re-salus pas avant de partir, car tu es toujours aussi méprisable ... » Version western Nous remontions le long d'une petite rue sinueuse. Nos regards se captaient immédiatement. La foule partait en courant, face à l'imminence du danger. Les femmes accouchaient devant la tension qui émanait de nous. Un vautour se posait sur le toit le plus haut. Et d'un coup, les claquements sourds des colts raisonnaient. Bien sur, je n'étais pas touché. Mon adversaire grimaçait, se tenait les cotes et tombait à genou puis face contre terre. Comme une merde*. La foule me faisait la holà » et les femmes s'offraient à moi en déchirant leurs habits. J'avais aussi la version Matrix avec coup de pied rotatif au ralenti qui pète tout le râtelier. Et enfin pour le plaisir, y'avait la version, il revient en rampant et je le méprisais d'un coup de talon. Pourtant ce soir, nous nous dirigions vers le Pharo avec les enfants. C'était la fin de l'hiver en tout cas chez nous ciel bleu, soleil et plus froid pas encore chaud, mais plus froid. Tout Marseille ressortait couples, familles, vieux, jeunes, … À proximité du Novotel, Charline me filait un coup de coude T'as vu ? ». Lui ! Face à nous … Merde ! … Ben non ! J'avais pas prévu d'être avec les mômes ! J'vais quand même pas énucléer un ancien copain avec un lanceur de toupie BayBlade** devant mes petits ? Tout mes muscles se cristallisaient … En plus, il faisait rien qu'à faire semblant de pas me regarder pour ne croiser que le regard de ma douce … En plus il est lâche ! HAAAARRRRGGGG !!!! Je ne pouvais intervenir. Retenant à peine mes sanglots, je devais battre en retraite … Dix mètres plus loin, je tuais une vieille pour me détendre … Fallait redescendre la pression. * Non, je suis pas du tout haineux … Comme vous pouvez le voir tout est parfaitement digéré. ** Pour ceux qui ne saurait pas, ce sont les toupies de combat dont son accro' les petits.eqfNB8t.