162k Likes, 133 Comments - sarah-jeanne labrosse (@sarahlabrosa) on Instagram: “Salut les gradués 2020, ceux pour qui rien ne se passe comme prévu depuis des mois. C’est à vous” Les deux comparses posent aujourd’hui une nouvelle pierre à leur hallucinatoire édifice sonore avec “Reset”, leur troisième effort commun. Rencontre. L’un est le cofondateur d’Animal Collective, a collaboré avec les Daft Punk et Solange ; l’autre est parent de Spacemen 3, a été aperçu à la production des meilleurs disques de Beach House ou encore de MGMT. À deux, Panda Bear alias Noah Lennox et Sonic Boom Peter Kember, de son vrai nom, chacun échappé des formations qui les ont propulsés sous les projecteurs de scènes rock alternatif et psychédélique, explorent depuis plus de dix ans déjà les rivages d’une pop hallucinée et expérimentale. Forts de carrières qui mériteraient un article à part entière pour en énumérer les coups d’éclats respectifs, comme d’une collaboration qui a déjà prouvé sa constance qualitative, les deux artistes reviennent dans une interview fleuve sur la genèse de ce dernier LP. Voilà dix ans que vous collaborez ensemble, particulièrement autour de la discographie de Panda Bear, dont Peter a produit deux albums avant celui-ci. Qu’est ce qui vous a motivé à remettre le couvert ? Panda Bear — Je pense que cet album est à part dans ma discographie, enfin c’est une élaboration du travail qu’on a déjà fait ensemble. On s’est rapprochés depuis Tomboy [le premier album de Panda Bear produit par Sonic Boom, 2011], et faire ce disque était un peu une étape inévitable de notre collaboration. Sonic Boom — On n’avait pas spécialement prévu de sortir quelque chose, mais ça s’est comme imposé à nous. Je pense qu’on a à peu près la même approche de la musique qu’on a déjà produite ensemble on aime collaborer et on essaye de renouveler notre formule pour ne pas se répéter. On ne veut pas devenir un de ces groupes qui s’autoparodient au fil des albums. Il paraît que chaque titre s’articule autour de samples issus de morceaux des années 1960 à 1980. Comment est venue cette idée ? SB — Le déclic, ça a été le déménagement au Portugal. C’était en 2020, avec la pandémie et les confinements, on a eu pas mal de temps. Assez naturellement, je me suis replongé dans des vieilles galettes que je n’avais plus trop l’habitude de sortir de leur étagère. En les réécoutant, j’ai porté une attention particulière au début des morceaux, je me suis mis à chercher les moments catchy qui te font rentrer dans une musique. Je les ai répertoriés avant de les isoler et de les passer en boucle. Ces passages ont une énergie particulière que je voulais capturer. Je pense que c’est cette démarche qui caractérise le disque recontextualiser la substance captivante de morceaux pré-existants. C’est drôle de se concentrer sur l’intro des morceaux, d’autant que c’est rarement un moment de climax… Ça vous obsède depuis longtemps ? SB — Pas vraiment…. J’ai une sensibilité différente aux morceaux qui ouvrent un album, par rapport aux intros de morceaux. Mais dans les deux cas, je trouve que c’est là qu’on peut trouver le plus de folie, des effets psychédéliques ou des sons rembobinés… Quand c’est bien fait, c’est quelque chose que j’adore. PB — C’est comme une accroche, quelque chose qui s’immisce dans ton cerveau et mobilise ton attention. Quand tu y es réceptif, ça peut apporter beaucoup à l’expérience de l’album. SB — Tous les deux, on a une approche particulière à la composition. Le début d’un morceau est toujours à part du format couplet-refrain, et on a l’habitude de s’en emparer pour développer un espace de liberté qu’on n’aurait pas plus tard. “On a une approche particulière à la composition. Le début d’un morceau est toujours à part du format couplet-refrain, et on a l’habitude de s’en emparer pour développer un espace de liberté qu’on n’aurait pas plus tard” C’est plutôt parlant, quand on pense à des titres comme Mr Noah ou les morceaux de Person Pitch… En fait, chez vous, on sent une remise en cause de la totalité du format d’un morceau. PB — Ouais, c’est une chose avec laquelle je bassine Peter depuis des années l’idée de morceau sans couplet, où le refrain s’étale tout du long. Je ne pense pas avoir réussi à craquer le code, mais j’ai le sentiment de m’en être approché sur le morceau que j’ai enregistré avec Alan Braxe et DJ Falcon [l’immanquable tube Step By Step] cette année. Enfin, ce n’est pas tant qu’il n’y a que du refrain, mais plutôt qu’il se mélange constamment avec le couplet, les deux arrivent en même temps… Je suis assez fier de ça. >> A lire aussi Alan Braxe et DJ Falcon en pleine French Touch Sur un aspect moins théorique, l’album sonne aussi différemment de vos précédents efforts communs. Dès la première écoute, j’ai été marqué par la délicatesse des productions, la douceur de votre palette sonore… SB — C’est quelque chose vers quoi on tendait consciemment je voulais que l’album sonne exaltant… C’est toute cette idée d’énergie, qui vient des intros qu’on a samplées. Je me rappelle, à la fin des sessions de Panda Bear Meets the Grim Reaper 2015, Noah m’avait dit vouloir articuler son futur travail autour de quelque chose de minutieux, dans une démarche assez minimaliste. C’est cette attention qui définit Reset à mes yeux, et qui nous permet de ne pas nous répéter. Vous avez tous les deux été occupés ces dernières années Peter avec le revival de Sonic Boom et le faste All Things Being Equal 2020, Noah avec l’album d’Animal Collective Time Skiffs, 2022 et la collaboration avec Alan Braxe et DJ Falcon… Où avez vous trouvé le temps d’enregistrer Reset ? PB — Ça a été un projet au long cours. On s’y est vraiment mis à la fin de l’été 2020, il me semble, pour terminer… SB — Environ un an plus tard ? Je me rappelle avoir terminé le mix en septembre dernier, fin 2021. Il y a eu énormément d’allers-retours sur cette période, notamment parce qu’on a mis du temps à réaliser que les morceaux sur lesquels on travaillait allaient finir par marcher en tant qu’album. PB — Il a aussi fallu que j’insiste pour que Pete chante rires. Après cinq ou six sessions, je me suis dit qu’on gagnerait en énergie avec une voix supplémentaire. SB — J’étais un peu réticent, comme je venais de sortir All Things Being Equal qui m’avait pris pas mal d’énergie. Mais j’ai réussi à trouver quelque chose de particulier à insuffler à ce disque. Encore une fois, tout ça a pris son temps – on s’est posé la question après avoir enregistré une demi-dizaine de titres, ce qui est satisfaisant, comme je trouve que l’album donne une cohérence plus générale aux morceaux. Je me rappelle m’être dit, en écoutant le résultat final en studio, que ça ressemblait à une espèce de comédie musicale… rires Enfin, quelque chose de narratif, comme un dialogue. J’aime voir ça comme un acte manqué. “On a mis du temps à réaliser que les morceaux sur lesquels on travaillait allaient finir par marcher en tant qu’album” C’est difficile de différencier vos voix… Vous aviez déjà l’habitude de chanter ensemble ? SB — J’ai passé du temps à faire fondre nos voix l’une dans l’autre ! rires Je voulais que le mélange sonne comme du vocodeur par moment, arriver à un truc un peu inhumain. On avait déjà un peu expérimenté ça ensemble sur All Things Being Equal. PB — On n’avait jamais chanté ensemble avant ça, et il y a eu un rendu étrangement proche des Everly Brothers qu’on a bien aimé. Ou Simon & Garfunkel… Je veux dire, nos voix n’ont rien à voir, mais il y a quelque chose dans l’équilibre, le contraste, qui nous inspire. C’est drôle, à la première écoute du disque, j’avais l’impression d’entendre quelque chose qui serait né sur scène plus qu’en studio. D’ailleurs, j’imagine que vous avez du travailler à distance à l’époque… C’était particulier pour vous, ou c’est dans vos habitudes ? PB — On n’était pas physiquement ensemble pendant les six premiers mois de la production. Quand la situation sanitaire l’a permis, et accessoirement qu’on a décidé de faire l’album, on s’est retrouvé. Après, c’est Peter qui s’est chargé du mix. SB — En fait, ça a aussi été une source d’inspiration en termes de rythmique, on a cherché à trouver une palette sonore proche des jeux de mains d’enfants, quelque chose d’assez organique et estival, au moment où on était tous bloqués chez nous. >> A lire aussi Animal Collective au top des fulgurances pop avec “Time Skiffs” Ce genre de texture fait partie de vos gimmicks communs, non ? PB — Ça nous parle, oui, mais on ne s’y limite pas. Par exemple Tomboy ne sonne pas comme ça à mes yeux. Donc ce n’est pas récurrent, mais je trouve que ça avait du sens de le mobiliser pour Reset, ça a participé à donner une couleur à l’énergie qu’on voulait insuffler à notre musique. SB — C’était aussi quelque chose qui revenait dans certains des samples qu’on utilise, dans des musiques des années 1960, où on trouve pas mal de guitares acoustiques soutenues par des handclaps… Des choses assez bubble gum, qui ont défini la note d’intention. Qu’y a-t-il derrière ce choix de ne sampler que des vieux tubes pop-psyché ? SB — En ce qui me concerne, c’est un peu le fil rouge de ma carrière, je trouve que le rock sonne toujours plus cool avec de la musique électronique dedans. Mais c’était assez rare dans les années 1960. Donc ce n’était pas particulièrement une question de contexte. D’ailleurs, il y a d’autres samples qu’on a utilisés qui venaient de musiques des années 1980… “Je trouve que le rock sonne toujours plus cool avec de la musique électronique dedans” Et vous vous êtes faits découvrir des morceaux ? PB — Pas vraiment, comme tout est venu de Pete, il n’y a pas eu vraiment d’échange… Mais je ne connaissais pas tout ce qu’il m’a envoyé. J’en ai reconnu une bonne partie, mais j’ai aussi redécouvert certaines intros. C’était super agréable et ça facilitait beaucoup l’écriture c’est plus facile de partir d’un souvenir pour le modifier, que de s’attaquer à quelque chose qu’on connaît déjà par cœur. SB — Ta question rejoint un peu l’idée d’énergie des intros dont on parlait tout à l’heure… Tu vois, je pense que la boucle sur Edge of the Edge parle à tout le monde. Et pourtant, le morceau original [Denise de Randy & the Rainbows] est un succès sans lendemain du début des années 1960. Il y a un sentiment de familiarité assez immédiat. PB — C’est une expérience assez étrange, ce sentiment de reconnaître quelque chose qu’on n’a jamais vraiment entendu, et c’est un outil très puissant en musique. C’est avec ça qu’on veut jouer, en cachant des choses dans nos morceaux. Et comment s’est passée l’écriture ? PB — Je m’en suis principalement chargé, je demandais son aide à Pete et il ajoutait ses idées aux mots que j’avais déjà écrits. Il y a quelques morceaux que j’ai écrit autour des mots-clés de Pete. C’est drôle de parler de mots plus que de phrases, mais ça correspond bien à ta façon de chanter. Cette attention de la répétition, il y a quelque chose du mantra… PB — Ouais, je n’ai jamais écrit de façon très narrative. Je trouve ça plombant, je préfère mettre en exergue des émotions ou des idées avec des formules assez courtes. Je me sens plus à l’aise dans ce flou, et ça laisse de l’espace au public pour mettre du sien dedans. SB — Les paroles sont à l’image des chansons elles-mêmes, tout s’articule autour de la répétition et de ce sentiment d’illusion qu’on essaye de créer… Ça boucle bien le projet je trouve ! Propos recueillis par Briac Julliand interviewPanda BearSonic Boom Conseillermunicipal de la majorité (1989-2001) puis de l’opposition (2014-2020), le communiste Pierre Baraudon, 66 ans, a quitté son costume d’élu en

Le pick-up 100 % électrique de Tesla ne ressemble à rien d’autre ». C’est en ces termes, qu’Elon Musk a présenté à la presse son Cybertruck, jeudi soir, devant une foule ébahie. Pourtant, lors de la présentation, tout ne s’est pas déroulé comme prévu. Le visionnage de cette vidéo est susceptible d'entraîner un dépôt de cookies de la part de l'opérateur de la plate-forme vidéo vers laquelle vous serez dirigée. Compte-tenu du refus du dépôt de cookies que vous avez exprimé, afin de respecter votre choix, nous avons bloqué la lecture de cette vidéo. Si vous souhaitez continuer et lire la vidéo, vous devez nous donner votre accord en cliquant sur le bouton ci-dessous. En effet, le patron de la firme américaine a fait jeter des boules en acier sur les vitres du véhicule, afin de prouver sa résistance. A deux reprises. Et, à chaque fois, les vitres se sont brisées, sans toutefois voler en éclats. De quoi faire rire jaune Elon Musk Oh putain ! Peut-être que c’était un peu trop violent ? », s’est-il exclamé. Mais d’assurer C’est littéralement résistant aux balles de pistolet calibre 9 mm. » La suite après la publicitéAvec le Model Y, Elon Musk veut faire de Tesla un constructeur généralisteLe Cybertruck sera décliné en trois modèles ; 39 900 dollars et 400 kilomètres d’autonomie pour l’entrée de gamme, jusqu’à 69 900 dollars et 800 kilomètres d’autonomie annoncés pour le modèle supérieur. Le futur pick-up de Tesla aura six places, pourra emporter plus de 1,5 tonne et sera capable de tracter 7 tonnes. Et il pourra passer de 0 à 100 km/h en environ 3 secondes, s’est réjoui le fantasque patron de marque américaine jouait gros lors de la présentation du Cybertruck, puisque la part de marché des pick-up, aux Etats-Unis, est passée de 13 % en 2012 à quelque 17,5 % cette année. Aucune date précise n’a été communiquée pour sa mise sur le marché mais les analystes estiment que le pick-up de Tesla ne pourra pas sortir des usines avant fin 2021 au plus tôt.

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Comment aurais-je pu savoir à 16 ans ce que je voudrais à 28? Il y a des années, si on m'avait demandé comment je voyais ma vie à 28 ans, voilà ce que j'aurais répondu un poste à responsabilité, un compte en banque bien rempli, mariée et un premier enfant prévu avant mes 30 ans, une maison en vue. En gros, le parcours d'une adulte qui sait ce qu'elle veut. On ne peut pourtant pas dire que j'ai déjà planifié toute ma vie. Ces dix dernières années, j'ai changé d'idées de carrière plus souvent que de vêtements. Bon, j'exagère, en fait je n'ai changé d'avis qu'une fois et je passe par trois à six tenues différentes au moment de m'habiller. Mais, au moins, je voyais à peu près où j'en serais et ce que je voudrais à 28 ans. Sauf qu'aujourd'hui j'ai 28 ans, et je suis à des années-lumière de ce que je m'imaginais il y a des années. Je ne suis pas mariée. Mon salaire n'est pas énorme. J'adore toujours faire la fête mais quand même pas autant qu'à mes 20 ans. Je suis très loin de me consacrer à un achat immobilier. Je ne pourrais certainement pas avoir un enfant pour le moment, vu que j'arrive déjà à peine à m'occuper de moi. Mais, même si je suis heureuse de vivre ma vie de la manière qui me convient aujourd'hui, une part de moi ne cesse de murmurer "Dis donc, qu'est-ce que tu as fait de tes projets? Pourquoi est-ce que tu n'as pas d'argent? Pas envie d'avoir un bébé pour l'instant? C'est pas normal..." Ces derniers temps, ces pensées ont généré énormément de stress et d'anxiété. Je me sens abattue, insatisfaite. Je n'ai envie de rien, tout en ayant envie de tout. C'est comme si j'attendais un miracle qui viendrait bouleverser ma vie et ma personnalité – me redonner les désirs, les besoins et les rêves que j'espérais avoir quand j'aurais 28 ans. Mais ça ne marche pas comme ça. Et vous savez quoi? Ce n'est pas grave. C'est d'ailleurs la raison d'être de cet article ce n'est pas grave si on n'a pas la vie qu'on attendait. Après tout, ça veut dire quoi, "la vie qu'on attendait"? Quelle horreur! Quand on est enfant, la société, le cinéma, la télévision et ceux qui nous demandent comment on s'imagine dans 5, 10 ou 20 ans nous amènent à réfléchir à l'adulte que l'on sera. On voit autour de soi, on entend parler de gens qui font ou réussissent certaines choses à un certain âge, ce qui nous amène à associer telle année à telle étape. 21 ans, c'est l'âge de la fête. 25 ans, l'âge où on commence à bien définir sa carrière et son itinéraire de vie. À 26 ans, on arrête la fiesta. À 27, on se fiance. À 28, on décroche un bon poste. À 29, on achète sa maison. À 30 voire plus tôt, on commence à avoir des enfants. Mais, en vieillissant, on se rend compte que cette progression par étapes, c'est n'importe quoi. Pourtant, allez savoir pourquoi, on se sent toujours obligé d'accomplir toutes ces choses, et on a toujours l'impression de décevoir les autres si on ne le fait pas. En réalité, personne n'attend de vous que vous réalisiez quoi que ce soit. Il n'y a que vous qui vous obligez à vous tenir à ces étapes, que vous à être déçue de n'avoir pas fait certaines choses. Très honnêtement, les autres se fichent que vous faisiez encore la fête tous les week-ends, même si ce n'est pas le cas de tout le monde à votre âge. Personne ne vous prend pour une ratée parce que vous n'avez pas encore trouvé le job de vos rêves et que vous avez du mal à boucler les fins de mois, même si d'autres gens de votre âge peuvent s'acheter une maison et partent sans arrêt en vacances. Personne ne vous regarde de haut parce que vous êtes encore célibataire alors que d'autres se marient. En fait, tout le monde s'en tape! Si on progressait tous au même rythme et qu'on désirait tous les mêmes choses au même moment, on s'ennuierait ferme. Ne pas grandir, ne pas changer serait tout aussi ennuyeux. Alors, oui, j'ai 28 ans et ma vie n'est pas "comme je me l'étais imaginée". Et c'est très bien comme ça. Ça veut dire que j'ai changé, que je n'ai plus les mêmes envies que lorsque j'étais plus jeune. Franchement, comment aurais-je pu savoir à 16 ans ce que je voudrais à 28? Je ne sais même pas encore ce que j'aurai envie de manger ce soir! Il est temps de vous débarrasser de toutes vos jolies listes sur les futures étapes de votre vie. Prenez-la plutôt comme elle vient! Faites ce qui vous rend heureux. N'essayez pas d'être quelqu'un d'autre, juste parce que c'est la personne que vous vouliez être il y a des années. Soyez vous-même. Et si cette personne a changé, acceptez-le. Vous serez beaucoup plus heureux en arrêtant d'associer les âges de la vie à de grandes étapes, et en vivant. Tout simplement. À voir également sur Le HuffPost
Pourtant aussi bizarre que ça puisse paraître, je n'étais généralement pas le premier à sortir de la salle. Non pas que j'aime cet endroit ou que je veuille faire le lèche-botte auprès des profs. Loin de là. Seulement, il fallait que je me réveille. Et puis, quand c'était la pause, je roulais mes cigarettes avant de sortir. Comme

PDV Taehyung Pauvre petit! À cause de nous, Yoongi est en dépression amoureuse. Ça fait mal au cœur de la voir comme ça pour la première fois en 19 ans si je compte avant qu'on se soit rencontré, ce qui veut dire, il y a 8 ans. On à décidé de visiter un peu la ville de Mexico, puisqu'on est justement à Mexico. Et comme depuis au moin une semaine, Yoongi nous boude, fâché qu'on l'ai forcer à partir de la Floride. Jungkook Hyung, met toi un foutu sourire sans ta face! Yoongi nous boudant encore J'ai pas envie de sourire. Moi Je ne sais pas vous, mais moi, j'ai faim. Jungkook Excellente idée! T'as faim, Yoongi? Yoongi toujours fâché J'ai pas envie de manger. Jungkook déçu Ne me dit pas que tu vas faire la grève de la faim? Yoongi Et pourquoi pas? C'est de votre faute, si je suis dépressif! Moi avec tout plein de sous-entendu Je suis sûr que tu as envie de manger quelque chose de mieux que de la nourriture. Genre, 100x mieux. Yoongi me donna un coup de coude dans l'épaule, comprenant que je parlais d'un certain Jung Hoseok. Il vira rapidement au rouge, ce qui me fit rire avec Jungkook. Puis, Yoongi sortit son téléphone de sa poche et composa un numéro. Jungkook perplexe Tu appelles qui, Hyung? Yoongi nous lançant des éclairs avec ses yeux Un taxi. Je rentre à l'hôtel puisque tout ce que vous êtes capable de faire, c'est rire de ma gueule. Moi déçu Mais lààà! Chaton! On faisait juste s'amuser. Ne le prends pas mal comme ça. Jungkook en croisant ses bras comme un enfant qui boude T'es pas cool, Yoon. Puis, le taxi arriva. Yoongi embarqua à l'intérieur en nous fusillant toujours du regard. Jungkook regardait le véhicule s'éloigner et moi, je n'en avais pas la force. Je me sentais mal. Mal d'avoir prévu une vengeance pour Yoongi parce qu'il avait embrassé mon petit ami alors qu'il ne la méritait pas. Mal pour sa situation avec Hoseok. Mal d'avoir rie de lui. Je me sentais mal de tout ou presque. Plus j'y pensais, plus ça me tombait dessus Je suis un imbécile égoïste. PDV Yoongi Une semaine. Une foutu semaine qu'il m'ignore. Qu'il ne me répond pas. Chaque minutes, chaque secondes de ma vie, je pense à lui. Je l'imagine enfermé dans sa chambre en train de se torturer à se remémorer tout les moments qu'il croyait heureux d'avoir passé avec Kai. Et juste y penser, ça me fait mal de savoir qu'il souffre autant. Je n'aime pas voir des larmes sur son magnifique visage. Je n'aime pas le savoir triste. Assit sur le lit ne notre chambre d'hôtel, j'observe mon téléphone que j'avais positionné devant moi 1 heure plus tôt, attendant un nouveau coup de fil qui ne viendrait ni de Jungkook, ni de Tae, ni de Jimin, ni de Namjoon ou de Seokjin. Un téléphone de personne d'autre de celui que j'aime. Hoseok. Mon Hoseok. Malheureusement, je n'avais plus de signe de lui depuis une semaine. Une foutu semaine. J'ai envi de pleurer toute les larmes de mon corps et de massacrer Kookie et Tae. Tout d'un coup, j'eu une idée. Si Hoseok ne me donne pas de ses nouvelles, peut-être de Min Jae pourrais m'en donner. J'aurais pu envisager Sooyun, mais j'ai un doute sur le fait qu'Hoseok lui dise comment il se sent. Sans plus attendre, je compose le numéro de Min Jae. Après quelques coups, il me répondit.

Cétait très bien que P'tit Chat soit détartré hier, sa gencive n'avait pas encore de ligne rouge le long des dents, donc pas d'antibiotiques à lui donner et surtout il n'a pas mal ce matin. C'est un chat qui produit beaucoup de tartre et tout bébé il avait déjà les dents très jaunes et assez vilaines.

Vous avez eu la réponse que vous attendiez après la défaite contre Perpignan ? En deuxième mi-temps, oui. On a mis une mi-temps pour s’y mettre parce qu’on était un peu tendus, ce qui est normal. On n’arrivait pas à garder le ballon. On était assez imprécis, ce qui ne nous a pas permis de bien lancer le jeu. En deuxième mi-temps, c’était mieux. Même en première mi-temps, malgré cet essai qu’on prend à la fin, j’ai trouvé qu’on ne s’était pas égaré. Vous êtes menés après la première mi-temps, alors que vous étiez tranchants… Tranchants, je ne sais pas, dominants, oui. Moi je tranche le jambon mais après chacun fait ce qu’il veut. Mais oui, on a été dominants mais on avait de l’imprécision et on n’arrivait pas à tenir le ballon. Quand on le gardait, je trouvais qu’on était impatients. À l’image de cette mêlée ou on traverse, on tombe à cinq mètres de la ligne, et où en transforme le jeu par une longue sautée alors qu’il fallait jouer simple quoi. Mais c’est logique avec la semaine qu’on a passé… Vous vouliez voir des joueurs avec du caractère de champion. C’est le cas ? Oui. En deuxième mi-temps. Maxime Lucu a-t-il été un élément principal de ce succès ? Max a surtout été excellent dans la semaine. J’ai encore discuté avec lui tout à l’heure, je trouve qu’il a amené cette rébellion. Je trouve qu’il a été capable de fédérer autour de lui, d’amener les mecs avec lui, d’amener les leaders notamment. Il a été très bon dans la prise de responsabilité. Dans ce match, il a été excellent dans les initiatives alors que ce n’est pas forcément sa qualité première. Et je l’ai trouvé extrêmement bon sur les jeux au pied, notamment défensifs. Au-delà de la partie qu’il fait, il a fait une semaine incroyable. Vous avez laissé le contrôle de l’équipe aux joueurs cette semaine. Comment l’avez-vous vécu ? Je me suis fait chier. C’était difficile parce que j’ai pris un risque important mais il fallait que l’on se révolte, ce n’était pas possible autrement. Ce que je leur ai dit après le match, c’est qu’on ajuste fait ce qu’on aurait dû faire la semaine dernière. Depuis trois mois, il y a tellement de promesses non-tenues. Parfois tu perds les matchs parce que l’adversaire est plus fort, c’est le sport, c’est la vie. Parce qu'à Perpignan, quand tu n’es pas foutu de faire un match nul dans un match qu’on avait imaginé gagner… Ça a le don de me gonfler. Je trouve qu’on a juste rétabli une vérité. On est au même niveau que l’année dernière en demi-finale. Vous dites avoir pris un risque dans cette semaine. Celui que ça casse ? Pas que ça casse, mais il y a des choses qui ne me plaisaient pas. Il va falloir que je les règle l’année prochaine. J’ai pris cette option, j’ai froissé les joueurs et j’ai pris un risque. C’était ciblé évidemment, mais ça, c’est la vie. Ma crainte, c’était de savoir si on allait se remobiliser. Mais je crois qu’il fallait le faire. Vous n’aviez pas peur de vous mettre le vestiaire à dos ? Je me le suis mis à dos. C’est la première fois que ça m’arrive tous contre moi pour aller à la guerre. Quel discours avez-vous tenu à la mi-temps ? Très cours, très basique, comme depuis lundi. Parce que je n’ai pas envie. Je ne sais pas si ça reviendra, moi je ne triche pas. Quand je dis en début de semaine que je ne veux pas les voir, je ne veux pas les voir. Je dis les choses comme je les ressens. Mais c’est comme ça, je ne vais pas dire que c’est bien quand ça ne l’est pas. Ne pas tenir ses promesses, c’est dangereux, il ne faut pas jouer avec ça. La poignée de main avec Matthieu Jalibert en fin de match est jugée froide. Vous confirmez ? Oui, je m’y attendais. Top 14 - Matthieu Jalibert et Christophe Urios UBBIcon Sport Ça vous fait un peu plaisir aussi ? Ça montre l’ego du garçon. Bien sûr ! Mais Matthieu, c’est un champion, je le dis souvent. Mais c’est dans les deux sens. Les grands joueurs te font gagner les grands matchs. Hier, j’ai vu le Stade toulousain et j’ai vu Antoine Dupont surtout. Qu’on s’en inspire ! Quand tu veux gagner des titres, tu as besoin de tes grands joueurs. Vous avez prévu de lui parler dans la semaine, à lui et Woki ? Dans la semaine ? Non. J’ai déjà parlé la semaine dernière. Ça vous choque qu’on froisse les joueurs quand ils n’ont pas été bons ? Le geste de Cameron après son essai, je ne l’ai même pas vu, mais c’est bien, qu’il continue de marquer des essais. J’aurais préféré qu’il le fasse à Perpignan, mais il ne l’a pas fait. Les histoires après, c’est de l’enfumage. Il faut faire attention, le patron c’est moi. Personne d’autre, d’accord ? Quand je décide de ne pas parler, je ne parle pas, quand je décide de parler, je parle. Celui qui n’est pas content, il reste sur le côté. Moi je sais où je veux aller à Bordeaux et ça ne va pas, je partirai de Bordeaux. Il faut savoir ce qu’on veut, je suis très à l’aise. Votre groupe est-il si particulier ? Je n’ai jamais eu à coacher un groupe comme ça. Ce n’est pas l’heure des bilans mais j’ai les idées claires, très claires. Ce qui m’a appris le rugby, c’est que la générosité est bien plus importante que l’individualisme. Donc soyons généreux. Deux demi-finales de championnat en deux ans, cela représente quoi ? Une progression du club. Je suis venu pour ça. Mais on est juste en demi.
Après bon, les caméras deviennent toutes petites. Le punk, j’ai pensé que c’était dada qui recommençait. Je fantasmais beaucoup dessus, pas seulement sur la musique, c’était comme sortir de cette poésie de merde, de ces poètes à la con qui constipent, congestionnent. Pour moi, c’était ça, c’était tabula rasa. »
17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 0730 Au début de mes pérégrinations blogo-marseillaise, je vous parlais régulièrement d'un ami à l'anus rougeoyant. Depuis, c'est ça nazerie qu'il a décidé de faire briller. Pour tout dire, j'ai une vrai vie hors de ce blog si si, je suis un vrai gens comme toi. Il m'y arrive des coups durs. Quand t'as un pote qui te claque la porte au nez en te coinçant le doigt alors que toi , tu es dans la misère. Ça rend teigneux. Depuis, je suis courroux, violence et représailles. Mais, je tenais ma petite revanche, grâce à la taille de ville. Y'a pas cinquante mille endroits pour faire la fête et tu croises très vite les gens. Je savais donc qu'un jour je le retrouverais. Et là, ça serait la calamité pour lui … Toi, pas trahir amitié, sinon moi, casser bouche ! ». Comme la panthère, j'attendais que ma proie passe dans mon champs de vision … J'avais tout imaginé ! Au milieu de ses potes Salut ! Ça va ?… me tournant vers ses convives … Vous avez trop de la chance de le connaître … Mais attention, c'est un enculé ! … S'il vous arrive une méga galère comptez pas sur lui ! … Bon allez ! T'chô ! ... » Le croisant seul à seul Je ne te salut pas car tu es méprisable … Ta notion de l'amitié me donne des furoncles testiculaires … Je maudis ta famille sur 25 générations et souhaites te voir mourir d'un cancer du cerveau dans – de préférence – d'atroces souffrances … Et je ne te re-salus pas avant de partir, car tu es toujours aussi méprisable ... » Version western Nous remontions le long d'une petite rue sinueuse. Nos regards se captaient immédiatement. La foule partait en courant, face à l'imminence du danger. Les femmes accouchaient devant la tension qui émanait de nous. Un vautour se posait sur le toit le plus haut. Et d'un coup, les claquements sourds des colts raisonnaient. Bien sur, je n'étais pas touché. Mon adversaire grimaçait, se tenait les cotes et tombait à genou puis face contre terre. Comme une merde*. La foule me faisait la holà » et les femmes s'offraient à moi en déchirant leurs habits. J'avais aussi la version Matrix avec coup de pied rotatif au ralenti qui pète tout le râtelier. Et enfin pour le plaisir, y'avait la version, il revient en rampant et je le méprisais d'un coup de talon. Pourtant ce soir, nous nous dirigions vers le Pharo avec les enfants. C'était la fin de l'hiver en tout cas chez nous ciel bleu, soleil et plus froid pas encore chaud, mais plus froid. Tout Marseille ressortait couples, familles, vieux, jeunes, … À proximité du Novotel, Charline me filait un coup de coude T'as vu ? ». Lui ! Face à nous … Merde ! … Ben non ! J'avais pas prévu d'être avec les mômes ! J'vais quand même pas énucléer un ancien copain avec un lanceur de toupie BayBlade** devant mes petits ? Tout mes muscles se cristallisaient … En plus, il faisait rien qu'à faire semblant de pas me regarder pour ne croiser que le regard de ma douce … En plus il est lâche ! HAAAARRRRGGGG !!!! Je ne pouvais intervenir. Retenant à peine mes sanglots, je devais battre en retraite … Dix mètres plus loin, je tuais une vieille pour me détendre … Fallait redescendre la pression. * Non, je suis pas du tout haineux … Comme vous pouvez le voir tout est parfaitement digéré. ** Pour ceux qui ne saurait pas, ce sont les toupies de combat dont son accro' les petits.
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  • c était pas prévu comme ça